La qualité de l’air intérieur des bâtiments peut être altérée par divers contaminants chimiques ou microbiologiques. Par ailleurs, des effets sur la santé tels que des pathologies respiratoires peuvent résulter d’expositions à des polluants de l’air intérieur. Leur survenue dépend de la nature des polluants, de l’intensité et de la durée des expositions. Elle dépend aussi de déterminants génétiques, de facteurs socio-économiques et d’autres facteurs environnementaux qui influent sur la qualité de l’air. Pour répondre à l’enjeu sanitaire que représente la qualité de l’air intérieur, l’Anses s’est autosaisie en 2004 afin d’élaborer des valeurs guides de qualité d’air intérieur (VGAI), fondées sur des critères sanitaires. L’avis qu’elle a publié en 2014 propose ainsi deux VGAI pour l’acétaldéhyde, correspondant aux expositions à court et à long termes.
Proposition de valeurs guides de qualité d’air intérieur. L’acétaldéhyde
Auteur(s) : Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation de l'environnement et du travail (Anses) Nombre de pages : 154 p. Nature du document : Rapport, Etude URL : Consulter le lien Thème : Habitats et environnement intérieur Mots clés : Air intérieur, Asthme, Lieux d'accueil du public, Maladie respiratoire, Produit chimique